« Pour la première fois, des pays africains acceptent et décident de réaliser pour eux-mêmes et par eux-mêmes une réalité aussi importante : en l’occurrence la Grande Muraille verte…. »
Aliou Guissé, professeur d’écologie végétale à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, fait partie des tout premiers scientifiques à s’être penché sur la Grande Muraille verte. Il a notamment participé au groupe de recherche qui a sélectionné les essences résistantes qui sont aujourd’hui plantées sur l’ensemble du tracé.
A l’occasion de la COP 30 sur l’avenir des forêts au Brésil, il revient sur les origines et les enjeux d’un projet pharaonique qui est encore loin d’être terminé.